Moins de ventes, plus de possibilités de négociation pour les acquéreurs
Même si c'est la crise, les acheteurs sont en position de force : le nombre de logements à la vente augmente et les acheteurs potentiels ne se font pas très nombreux. Il faut savoir qu'une baisse des prix de 5 à 10 % serait possible les prochains mois pour les logements présentant un défaut particulier.Si vous souhaitez acquérir un bien immobilier dans une zone où l'offre est rare, vous pouvez essayer d'obtenir une baisse de 2 à 5 % du prix d'achat. Aussi, les vendeurs proposant un appartement familial ne se vendant pas, à un prix compris entre 500 000 et 1 million d'euros, sont susceptibles de baisser leur prix de 5 à 10 %, si vous tentez la négociation.
Préparez votre stratégie de négociation
Pour pouvoir négocier le prix d'achat d'un logement, nous vous recommandons de vous renseigner directement auprès de l'agent immobilier sur les raisons précises de la vente. Par exemple, en cas de séparation d'un couple ou expatriation, vous saurez qu'ils peuvent être pressés de vendre... Pointez du doigt tous les défauts du bien et présentez au vendeur les prix des biens concurrents. Pour connaître ces prix, rendez-vous par exemple sur le site Lacoteimmo.Vous connaîtrez alors votre marge de négociation. Notre conseil : pour bien négocier le prix de votre achat immobilier, annoncez un prix bien plus bas que le prix demandé et remontez votre offre progressivement, en tenant compte de la réaction du vendeur. S'il est pressé de vendre, il y aura bien un moment où il acceptera de céder le logement dont il est propriétaire à un tarif plus bas que celui fixé à l'origine.
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